Vues aériennes, Sainte-Anne-de-Sorel 1980

Vues aériennes de Sainte-Anne-de-Sorel en 1980, Fonds Point du jour aviation limitée, Bibliothèque et archives nationales du Québec Vieux-Montréal.  

Le village :


 

Le terrain de la municipalité :

 

Chez nous :

 

Des chalets :

 

Le « bas de Sainte-Anne » :

Le Fonds Point du jour aviation limitée de Bibliothèque et archives nationales du Québec (Vieux-Montréal) contient plus de deux millions de photographies aériennes obliques à basse altitude prises entre 1954 et 1996.

La collection « Saint-Pierre-de-Sorel, Sorel, Sainte-Anne-de-Sorel » est constituée de 253 photos de ces localités prises en 1980, principalement à Sainte-Anne-de-Sorel.

La description de la collection indique que la mission de Point du jour aviation limitée était de « photographier, à partir d’avions ou d’hélicoptères, à basse altitude, les régions rurales, particulièrement les maisons de ferme et leurs bâtiments, village par village, et de vendre ces photographies, par l’intermédiaire de représentants, suivant une sollicitation de clientèle faite à domicile, aux agriculteurs propriétaires. La compagnie œuvre au Québec, au Canada et aux États-Unis, couvrant ainsi une grande partie de l’Amérique du Nord francophone. »

« Au fil des ans, le laboratoire de monsieur Cossette réalise des agrandissements photographiques de fermes partout en région. »

Exrait de la notice d’information de la page du Fonds Point du jour aviation limitée :

Bien que la compagnie Point du jour aviation limitée, société par actions, existe à Mascouche depuis 1974, monsieur Jean-Marie Cossette (1928-), fondateur et président-directeur général, œuvre dans le domaine de la photographie aérienne oblique à basse altitude depuis 1949.

Avant d’atteindre la vingtaine (1948-1949), monsieur Cossette travaille à la McKinnons Industries (Ste Catherines, Ontario) en tant qu’opérateur de mesure et pesée d’acier. Durant cette période, il fait la rencontre d’un immigrant danois qui lui raconte comment la photographie aérienne, utile à des fins stratégiques sur le territoire, était largement utilisée par les militaires lors de la Seconde Guerre mondiale. À partir de cette discussion, il trouve enfin le fil conducteur qui lui permet de revenir au Québec et d’y développer l’idée, laquelle ne le quittera jamais plus, soit la découverte d’espaces différents de son coin de terre natal.